COMMUNAUTES DES PATRIOTES POUR LE PROGRES

DE LA DICHOTOMIE  A  L’INCOHERENCE DE L’OPPOSITION

Des sources de … RFI

« En Centrafrique, l'Assemblée nationale examine à partir de lundi 3 mai 2010 un projet de loi pour prolonger le mandat du chef de l'Etat et celui des députés au-delà du 11 juin, au grand dam de l'opposition qui souhaite un accord politique. Les élections présidentielle et législatives qui étaient prévues le 16 mai ont été reportées. La commission électorale doit proposer un nouveau calendrier. »

« Si le projet de loi est adopté, un paragraphe sera donc ajouté à l'article 24 de la Constitution: »« Au cas où l'élection du président de

la République intervient après la fin du mandat du président en exercice, ainsi que de celui de l'Assemblée nationale, le Premier ministre, chef du Gouvernement saisit la Cour constitutionnelle aux fins, d'une part, de constater l'expiration du mandat présidentiel et législatif, et d'autre part d'autoriser le président sortant à conserver ses prérogatives afin de faire organiser les nouvelles élections dans les nouveaux délais fixés par la Commission électorale. L'Assemblée nationale reste en fonction »

Mais voilà que à peine dévoilé, ce projet de texte commence à se diluer sous forme d' une soupe à la grimace de même que s’amoncellent des tergiversations au sein de l’opposition autour de la question de savoir si l’Assemblée Nationale doit adopter ce  texte de loi pour pallier au vide constitutionnel à venir ou non.

Pour une opposition qui s'inquiète encore

Car  le FODEME France  de source AFP  « propose » au parlement Centrafricain de « valider un schéma qui interdit aux candidats à l'élection présidentielle de participer à la gestion du pays pendant la période de transition électorale ».

Toujours selon le communiqué, « cette proposition a l'avantage d'apaiser et d'avoir un processus électoral crédible. Ainsi, les différents candidats se consacreront entièrement à leurs activités de propagande politique et électorale ».

Le responsable de la section France du FODEM exhorte également les élus à « gérer la patate chaude avec beaucoup de responsabilité et avant le 11 juin, échéance du mandat de l’actuel président, afin de doter le pays d'un « mécanisme légal » permettant de combler « le vide constitutionnel et d'assurer la continuité de l'Etat selon la loi ». »

Alors que pour le collectif constitué sous le vocable de l’opposition et par la voix de son rapporteur Me TIANGAYE « Sur le fond, l'opposition est d'accord pour que le mandat du chef de l'Etat soit prolongé jusqu'aux élections. Mais pour Nicolas Tiangaye, le porte-parole du collectif des Forces du changement, « il ne faut pas toucher à la Constitution». L'article 108 l'interdit. « La Constitution

Centrafricaine, explique-t-il, a prévu des verrous qui interdisent toute révision en ce qui concerne la durée et le nombre de mandats du chef de l'Etat ».

L'opposition s'inquiète aussi d'un scénario à l'ivoirienne, celui d'une élection sans cesse repoussée. « On n'a pas besoin de violer la Constitution pour prolonger le mandat du président, ajoute Nicolas Tiangaye, un accord politique suffit mais pour cela, il faut que le président Bozizé accepte la négociation directe avec nous ».

Alors que « Dans le camp présidentiel, on fait valoir que c'est justement pour  donner un caractère juridique plus fort à un simple accord politique que ce choix a été fait.  Pourquoi est-on toujours dans la surenchère dans notre pays », s'exclame Henri Bolanga.

Le conseiller du chef de l'Etat souligne que le président François Bozizé a accepté le report des élections « pour éviter une nouvelle crise à la Centrafrique». « Il ne faudrait pas, dit-il, trop tirer sur la corde ».

Ce n’est une surprise pour personne, surtout pour ceux de nos lecteurs qui sont déjà interpelés par notre chronique du 1^er mai 2010 au terme duquel nous avons émis des doutes quant à la capacité de l’opposition à faire preuve de raison, de responsabilité et de civisme vis-à-vis du Peuple Centrafricain.

Ces voix qui s’élèvent et les propos qui se tiennent nous donnent raison à propos de la crise de leadership que couve  l’opposition sur fond de division entre ses membres.

Une opposition qui est entrain de se faire manipuler par un groupe de contestataires avérés et désespérés en quête de reconnaissance politique, des contestataires animés par d’autres mobiles que l’intérêt supérieur de la Nation.

QUELLES PRETENTIONS SE CACHENT DERRIERE LES PROPOS DE ME TIANGAYE ?

Quand il soutient que la constitution comportent des verrous relatifs à la durée du mandat Présidentiel ……………

Quand il déclare que « le Président doit négocier directement avec lui » il imprime par la même occasion la marque d’un adepte du Conseil National de Transition à l’identique de ce qui s’est produit en 2003 et dont il s’est vu confié la Présidence.Il dénie en même temps le Droit pour la République de s’adapter au contexte socio Politique à travers l’adoption de textes idoines en rendant de facto son fonctionnement anticonstitutionnel à compter du 11 juin 2010, puisque il n’y’aura point et selon la logique constitutionnelle ni aucun Président, ni aucune assemblée  à compter de cette date.

Ce là ne semble pas préoccuper  outre mesure notre Me  rapporteur pour qui seuls des accords politiques suffisent, lequel souhaite en même temps que le Président puisse négocier directement avec eux, ce qui induit son intention de  court-circuiter le rôle de la C.E.I et de l’Assemblée Nationale.

Or selon Stéphane BOLLE, Maître de conférences HDR en droit public à Montpellier

« En Occident comme en Afrique, il n'y a pas une « parfaite coïncidence de la Constitution décidée avec la Constitution appliquée... la Constitution n'est pas déclarative d'un héritage (si elle le recueille elle le constitue délibérément) : elle est d'abord une ouverture sur l'avenir, le déclenchement d'une création continue "

Donc et en l'occurence

la Constitution Centrafricaine doit s’adapter à la réalité socio Politique surtout en cas de vide constitutionnel comme il sera le cas d’espèce à compter du 11 juin 2010,une constitution qui doit s'ouvrir  sur l’avenir dans un élan de création continue, grâce au respect de la règle d'un jeu consensuel de la classe Politique Centrafricaine.

Par conséquent, s’il faut que l’article 24 fasse l’objet d’un rajout,  il le sera d’une manière objective, par contre l’article 108 dont il est question ne saurait faire obstacle à une mise à jour raisonnable.

PAR CONTRE CE SONT LES DECLARATIONS DE ME TIANGAYE QUI SONT INQUIETANTES

Car de  tels  esprits emprunts d’ambiguïté  et d’ambivalence Politicienne doivent être dénués de toute considération, car contraires aux principes démocratiques et qui plus sont anticonstitutionnels.

DES ESPRITS ANTICONSTITUTIONNELS DE L’OPPOSITION

Le Président de la République a été élu par les Centrafricaines et Centrafricains par un mode de scrutin incontesté de tous depuis 2005, son mandat venant à échéance le 11 juin 2010, il a naturellement entrepris la mise en place de tous les préalables pour que les prochaines élections de 2010 puissent se dérouler dans de très bonnes conditions à savoir :

• Institution du Comité de suivi du   Dialogue Politique inclusif avec désignation des membres.
• Mise en place du Comité de Pilotage du programme DDR avec désignation de ses membres
• L’Allocation des moyens pour le bon déroulement du Programme DDR
• Institution de la CEI avec désignation des membres.

• Décret fixant les dates des élections et convoquant le corps électoral.
• Multiplication des consultations avec l’opposition et les Observateurs etc.….

Face à tous ces efforts, nous avons malheureusement une opposition qui s’est  toujours offusquée et continue de se radicaliser sur toute la ligne ceci sans raisons valables,  en demandant le report de la date des élections pour la deuxième fois, en procédant à la rétention des listes électorales dans certaines localités, en menant une campagne d’intimidation sur une tranche de la Population rurale, en battant en brèche le vide constitutionnel à venir et en proposant de simples accords politiques pour permettre seulement au Président de continuer à assumer ses fonctions ce au détriment de la législature (des députés).

Plus qu’une Hypocrisie, un manque de CIVISME Avéré

Il serait mal venu et inconvenant aujourd’hui de reprocher au Président de la République de vouloir modifier la constitution en violation de l’article 108, alors que c’est l’opposition elle-même qui profitant d’un vide constitutionnel sans tenir compte de sa propre turpitude et de son incurie est entrain de pousser le Pays dans un régime qui ne dit pas son nom, elle est entrain de créer par cette même occasion les conditions d’une insécurité Nationale, d’une instabilité Politique et Socio Economique sans précédents, c’est peut être dans ce contexte qu’il faut situer la position du FODEM France qui demande à ce que l’Assemblée adopte un mode de transition interdisant le pouvoir à tous les candidats, c’est pour cette raison qu'il convient de dénoncer ce cynisme de l’opposition dans cette phase aussi fragile du processus Démocratique afin d' Imposer les fondamentaux de la République.

C’EST POURQUOI L’ESPRIT REPUBLICAIN DOIT TRIOMPHER

Nous sommes Mal-pensants peut être, par opposition à une opposition « bien-pensante » libérale libertaire qui règne en maître, et dont certains  membres se prennent pour les érudits de la classe Politique Centrafricaine, et qui, prétendant penser comme il le faut, entendent à coup de propagande et de désinformation, interdire aux citoyens Centrafricains de penser autrement qu’eux.

Parce que nous sommes attachés à l’esprit critique, à la liberté d’expression et à la raison d’Etat, nous entendons ici lutter contre cette pensée cynique , en offrant un éclairage de l’actualité nationale et internationale la plus honnête possible. Une honnêteté qui ne nous empêche pas de prendre parti  pour le K.N.K, bien au contraire.

Ainsi, nous sommes Patriotes et Républicains, parce que nous aimons avec passion notre patrie, la République Centrafricaine, et que nous voulons pour elle le meilleur qui soit, à savoir pour nous une République qui n’est pas une coquille vide comme le souhaiterait l’opposition à travers ses prétendus « simples accords Politiques », mais une exigence, une République exigeante comme le veut le Président de la République qui a estimé à raison que c’est:

· à l’Assemblée Nationale qu’appartient le Pouvoir de statuer sur la constitutionnalité du Pouvoir Exécutif au-delà du 11 juin 2010,

      · à la CEI que revient le pouvoir de statuer en concertation avec tous les partis et observateurs sur la fixation d’une éventuelle date des élections à venir.

Ce qui constitue bien sûr une garantie  pour la liberté de penser, d’expression et du pluralisme de l’information en vue d’une République irréprochable où les citoyens sont dignes de leur statut,

Où les Centrafricains sont libres de leur choix, au travers d’une démocratie exemplaire, Où le vivre ensemble est permis par la laïcité.

Où l’intérêt général prime sur les intérêts particuliers.

Où l’Etat, se porte garant du bien commun, se bat contre les inégalités  l’injustice et l’égoïsme  en offrant à chacun les moyens de son existence.

Une République, en somme, qui s’oppose totalement au modèle de société que nous imposent ceux qui manipulent l’opposition, ce que l’on peut nommer les « libéraux libertaires ». Ceux-là, même que nous entendons ici les combattre, ainsi que tous ceux qui méprisent et trahissent la République notamment alors même qu’ils entendent l’incarner et s’en revendiquer.

C’est dans cet optique qu’il serait impérativement souhaitable

1 / de cesser toutes les manœuvres de diversion afin de permettre à l’Assemblée Nationale d’adopter le texte approprié qui s’impose.

·2 / de ne pas court-circuiter les actions de la C.E.I et de négocier avec elle en tant qu’institution appropriée dans la recherche des solutions de sortie de crise.

3 / De ne pas forcer la main du Président de sorte à l’induire en erreur par des calculs politiciens et égoïstes dont les tenant et aboutissant sont difficilement perceptibles.

C’est ainsi que triomphera l’Esprit Républicain tout simplement afin que prévalent les fondamentaux de notre  République à travers notre devise : Unité -Dignité -Travail.

Bonne visite à tous, et n'hésitez pas à laisser Objectivement vos réactions  pour assurer un débat d'idée sans passions!

Vive la République Laïque et Une

Vive la REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE

VIVE LE K.N.K ET SON PRESIDENT

DIEUDONNE

POUR UN NOUVEAU REPORT DE LA   DATE DES ELECTIONS EN CENTRAFRIQUE

CHERS (ES) COMPATRIOTES

Depuis le 30 avril 2010, Toutes les ondes des radios nationales et internationales s’en donnent à cœur joie pour annoncer la décision du Chef de l’Etat de reporter à nouveau la date des élections en Centrafrique.

Contrairement à ceux qui pourraient être tentés de faire du RAMDAM et  de croire  ou de faire croire que le nouveau report de la date des élections en Centrafrique sonne le glas d’une victoire  au crédit de l’opposition et  sa cohorte d’une part  et atteste un signe de faiblesse du Président de

la République d’autre part, La décision de reporter la date des élections est l’expression d’un double message venant d’un Homme qui a toujours su se distinguer par sa grandeur d’esprit.

REPORTER LA   DATE DES ELECTIONS EST L’EXPRESSION D’UN MESSAGE D’AMOUR ET DE CIVISME ADRESSE AU PEUPLE CENTRAFRICAIN

Ce n'est pas seulement un geste à coloration Politique, convenez- en , chers(es) COMPATRIOTES, mais un message d’amour  exclusivement destiné au Peuple Centrafricain, en tant que message de Paix et de Concorde National venant du cœur du Père de

la Nation.

Ce  geste vient également consolider ce lien affectif existant depuis 2003 entre le Président et son Peuple, ce peuple qui l’a porté au pouvoir en 2005 parce qu’il lui a redonné sa dignité, sa fierté d’être Centrafricaine et Centrafricain au moment où des atrocités ont été commises aux « vu et su » des pseudo responsables Politiques Centrafricains qui ont avalisé la présence des troupes étrangères hostiles à

la Nation.

Un Peuple qui voit et Observe que le Président de la République n’a de cesse d’oeuvrer pour son bien être avec en perspective le souci de voir    la REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE se hisser au rang des concerts des Nations.

Un Peuple qui se résume à l’évidence face au geste de son Président « Qui l’aime en Ménageant sa Posture ».

N’est ce pas une chance d’avoir un Président qui sait faire preuve d’humilité pour son Peuple, qui sait où se situe la priorité Nationale, qui sait préserver les intérêts supérieurs de la Nation ce en harmonie avec l’esprit qui l’a guidé dans son action libératrice de 2003, qui se veut toujours rassembleur en se situant au dessus d’une mêlée Politicienne qui ne dit pas son nom mais qui prend corps tels des pavés de mosaïque insignifiants qui plus est dépourvus d’essence.

PLUS QU’UN GESTE, UNE SAGESSE ECLAIREE

C’est après mûre réflexion que le Président, Grand Camarade Ouvrier, sentant que son Peuple pris dans son ensemble éprouve insatisfaction de son salaire a pris en toute sagesse, la décision la plus éclairée de voir reporter la date des élections, et pour ce fait il a souhaité:

• que  l’assemblée nationale puisse prendre les mesures qui s’imposent en vue de  combler le vide constitutionnel au-delà du 11 juin 2010.
• que la CEI puisse se pencher à nouveau non d’une manière unilatérale sur la fixation de nouvelles dates.

Il n’échappera à personne que cette décision du Président, Grand Camarade Ouvrier est intervenue suite à une consultation des membres de l’opposition et du corps constitué des observateurs internationaux en Centrafrique en tant que geste d’apaisement et de civilité

UN GESTE D’APAISEMENT ET DE CIVILITE

Face à une opposition iconoclaste qui se targue des vertus d’érudits politiciens à la Centrafricaine.

Face à une frange de l’opposition qui s’est emmurée en optant pour le dialogue par les armes, et en perpétrant des actes d’intimidation lâche sur la population rurale et en procédant à la rétention des listes électorales alors que quelque part sur le territoire de la LRA la RCA, sévissent toujours et en parallèle des troupes étrangères de  J .Kony.

Face à une opposition qui s’est longtemps radicalisée dans une position ambiguë en optant pour une stratégie CASUS BELLI, occultant au passage l’intérêt supérieur de la Nation ce à travers ses actes inciviques dans l’optique de renvoyer la date des élections aux calendes Grecques.

Alors qu’en réalité, en scrutant l’univers de cette parodie d’opposition, il n’ y’a pas lieu de faire un dessin, On remarque qu’elle est sujet à des divisions intrinsèques entre ses membres qui se déclarent perpétuellement une guerre des chefs, lesquels entretiennent par effet de domino un omerta sur une crise de leadership vieille de plus de deux à trois ans.

Chers (es) Compatriotes, Camarades Ouvriers et Ouvrières, qu’attendre d’une telle opposition derrière laquelle ne se profile qu’un horizon de désespoir face à un Peuple qui est demandeur en termes de projets ambitieux au niveau de la Sécurité, de la Santé, de l’Education, de la Formation Professionnelle, de l’habitat, du développement rural ; de l’environnement, du développement des infrastructures, de la Fiscalité, de l’assainissement des services administratifs, de l’instauration d’un système bancaire etc.

Que pense le Centrafricain lambda qui ne connaît à l’heure actuelle aucune orientation Politique socio économique de l’opposition en termes de propositions inhérentes à la crise Financière qui a secoué le monde entier et dont les conséquences ont été et seront inéluctablement irréversibles au niveau de l’économie Centrafricaine.

Que dire à un membre de l’opposition qui ne saura à peine qu’un Pays peut tomber en faillite en l’occurrence de la Grèce la Finlande  aujourd’hui, de DUBAI et de hier, de l’Argentine dans un passé récent etc.…

Que dire enfin à un opposant Centrafricain que malgré la multitude des Dieux Grecques et malgré le message insistant de l’Apôtre Paul aux Thessaloniciens, le déficit de la Grèce est devenu réalité aujourd’hui, et que si nous ne faisons pas attention, la RCA finira par crouler sous le poids de la dette et perdre sa souveraineté et par voie de conséquence rendre ses opposants Politiques inopérants.

Ce qui est sûr c’est son indifférence qui sera de mise,   puisque ce qui peut le préoccuper c’est d’abord le pouvoir et l’argent (emprunté), il lui est difficile d’entrevoir les choses autrement, c’est lui d’abord et son peuple avec son Pays après.

Pour l’instant, tout le monde s’érige en observateurs pour voir si l’opposition sera capable de se concerter en vue de proposer d’une seule voix une date raisonnable et acceptable par tous.

Fort de ces constats aussi amères soient-ils, l’opposition est mise au pied du mure et doit donner un bel exemple de la démocratie en endiguant ses querelles à travers l’organisation des élections Primaires pourvues pour les députations et pour la Présidentielle

2010-2011.

Ainsi nous verrons si elle sera capable de prouver sa probité et sa responsabilité en calmant ses ardeurs par le dépôt des armes, par l’arrêt des opérations clandestines d’intimidation des populations rurales.

Nous verrons si elle sera capable de faire un geste honorable pour le Peuple Centrafricain qui en attend depuis belle lurette, car ce n’est pas tout de jeter l’opprobre sur le Président de la République et de mettre à exécution un Boycott qui à la longue finira par se révéler comme un couteaux à doubles tranchants susceptible de la desservir.

Nous voulons voir une opposition capable de s’investir en toute autonomie et sans infantilisation dans un processus démocratique viable et louable pour la REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE.

Nous voulons voir une opposition capable de porter ses actions politiques et sociales hors de Bangui intra muros en s’intéressant aux problèmes quotidiens des Centrafricaines et Centrafricains tant au niveau local, National, Régional qu’International.

Nous voulons voir une opposition qui pourra contribuer à l’intégrité territoriale comme le souhaite le Président de la République, Grand Camarade OUVRIER qui a donné le ton, puisqu’il en va pour la Paix et l’Unité Nationale.

Que penser de l’aide Internationale à suivre.

Que penser de la coopération Centrafricano-Chinoise à suivre

VIVE LA COMMUNAUTE DES PATRIOTES POUR  LE PROGRES

VIVE LE K.N.K POUR QUE VIVENT  ET PROSPERENT  LA   PAIX ET LA CONCORDE NATIONALE EN CENTRAFRIQUE

POUR LA C.P.P

LE PRESIDENT

E.DIEUDONNE.

Chers(e) COMPATRIOTES

En effet, il ne vous échappera pas que suite à cette émission sus citée en référence, il a été révélé que les Troupe de l'APRD ont fait rétention des listes électorales, sachant que l'APRD est présente dans 4 Préfectures (selon les propos de son Président JJ DEMAFOUT sur 3ATélésud du 22/04/2010).

Un tel acte, aussi grave soit il, est révélateur du malaise que cache l'opposition, une opposition qui navigue depuis des années sur un océan de divisions internes, de crise de leadership et qui entretien un omerta de ce point de vue en prenant le Peuple Centrafricain en otage à travers son boycott qui n'est qu'un prétexte pour renvoyer les élections aux calendes grecques.

C'est pour cette raison qu'elle a toujours opté pour une stratégie CASUS BELLI face à toutes les propositions de bon sens que fait le Président BOZIZE.

Derrière cette opposition qui n'est qu'un cache misère, se profile un horizon de désespoir, dépourvu de projets concrets pour les Centrafricains et Centrafricaines.

Vous comprendrez pourquoi il est vraiment souhaitable que la date du 16 mai soit maintenue, pour permettre au Président sortant de se représenter devant son Peuple pour le renouvellement de sa légitimité en vue de la poursuite des actions déjà engagées par son équipe tant sur le plan National, régional qu'international.

Il n'a pas besoin d'un récépissé provisoire délivré par l'opposition et l'opinion international pour la gestion des affaires au delà du 11 juin 2010 comme le réclament certaines voix.

DIEUDONNE A ANGERS

L'opposition a opté pour la mise en   exécution de sa menace de Boycotter les élections prévues en mai-juin 2010.

Par cet acte elle prouve son immaturité politique vis à vis de l'opinion Internationale et son Incivilité vis à vis du Peuple Centrafricain qui plus est pris en otage in-fine.

Ce que cache l' opposition, c'est son malaise latent et révélateur des divisions internes qui n'échappent à personne; l'opposition couve depuis longtemps une crise de leadership caractérisée soit par une dualité de représentation ( cas du M L P C ) ou par une absence de leader pour cause de décès ou disparition ( cas du F P P, du R D C et du Fodem ).

Sans occulter le fait que les autres partis, indépendants ou bandes armées ne sont véritablement que des outils de reconnaissances politiques mis en place exclusivement pour permettre à leur responsable de marchander lors des triangulaires en vue d'obtenir des postes de responsabilité.

Ces partis sont loin de représenter valablement le peuple Centrafricain pour la simple raison qu'ils n'ont pas assez d'expérience.

En scrutant avec toutes les attentions d'un Ange les revendications de l'opposition, on se rend compte et à juste titre qu'elle opte sciemment pour une stratégie CASUS- BELLI pour tenter de renvoyer les élections aux calendes Grecques, pour la simple raison qu'elle n'a rien à proposer aux Centrafricains et Centrafricaines en termes de projets de développement socio économique, et ce Face à un Candidat sortant qui a eu le temps de faire ses preuves et qui en toute évidence ne peut  que remporter les élections de 2010, pourquoi lui faire obstruction ? Pourquoi priver le Peuple d'aspirer à de meilleurs conditions de vie grâce à  cet homme? Si ce n'est par pur égoïsme.

CENTRAFRICAINS,  CENTRAFRICAINES, vous qui avez goûté au plaisir de la liberté, de la dignité et de l'épanouissement personnel, qu'attendez vous pour dire non à ces manipulateurs qui se prennent en partie pour des opposants?

E.D.D

CENTRAFRICAINS, CENTRAFRICAINES;

Dans les mois à venir, la page de l'histoire de notre Pays sera marquée par des évènements Politiques de grandes importance dont l'issu aura des conséquences sociales économiques et Politiques, certains d'entre nous seront appelés à se prononcer par le biais des urnes soit sur la continuité d'une action gouvernementale et de son Président S E  F.BOZIZE, soit sur autre orientation politique dont les tenants et aboutissants sont difficilement perceptibles.

Si vous pensez vous identifier à une sensibilité Politique qui prône, l'ouverture, la Paix, la cohésion sociale, la sécurité, la stabilité politique,socio-économique au niveau National, Régional et International, la Dignité.......il est temps pour vous de donner votre avis en terme de propositions objectives et de soutien massif et inconditionnel à notre Président et le Parti K.N.K qui seuls peuvent vous donner la garantie de nouveaux projets ambitieux pour notre Pays.

Depuis 2003 jusqu'à 2010, l'occasion vous a été donnée d'apprécier une nette amélioration des conditions de vie de nos compatriotes en huit ans de gouvernance, ce que d'autres n'ont pas pu réaliser en 14 ans, certes des efforts restent à faire, c'est pourquoi le Président à besoin de votre mobilisation en sa faveur pour le bien de la Nation.

En Mai et Juin 2010, soyez nombreux et nombreuses à porter haut les couleurs du K.N.K pour la RCA en avant.

VIVE LA RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE
VIVE LE KNK
VIVE LA COMMUNAUTÉ DES PATRIOTES POUR LE PROGRÈS

EDD